mardi 24 novembre 2015

Les News de la Renarde : compte rendu tractage anti fourrure dimanche 22 novembre Paris.

De bonnes réactions en ce dimanche, malgré le froid et les tragiques évènements récents à Paris, entre autes :

une jeune femme avec capuche, a retirer ses écouteurs, en nous voyant l'aborder, et ne savait pas que sa garniture était en vraie fourrure, encore un des nombreux étiquetages liligieux.....elle a pris notre tract avec intérêt. Une jeune fille également, avec capuche, a accepté notre tract, puis nous a encouragées. Une dame, a  répondu qu'il s'agissait d'un cadeau, ah qu'il est fréquent d'entendre cela, comme si le fait de se dédouaner en expliquant ne pas l'avoir acheté changeait quoique ce soit aux souffrances engendrées par ces garnitures dont personne n'a besoin....D'autres étiquetages litigieux : aucune indication, à part la composition du vêtement, ex : acrylique, synthétique, coton, mais rien quant à la capuche, ce qui laisse à penser que ce ne peut être de la fourrure animale. Toutes ces personnes ont pris notre tract dénonçant ce trafic. Puis, un couple avec une petite fille dont l'anorak était affublé d'une énorme capuche, que son père portait aussi. Lui nous a rembarrées, mais la mère a pris d'elle même  le tract, lorque nous avons précisé que les animaux étaient torturés. Trois personnes dont un homme de très grande taille, les petites renardes que nous sommes avons alors franchement lever la tête pour lui parler de sa capuche. Son ami a répondu vivement : " Et bien bravo !" en s'adressant à lui, sincère dans la critique, mais l'autre nous a rendu notre tract, avec un air très condescendant, en souriant bêtement devant notre gravité. Une dame entre deux âges, avec col et intérieur du vêtement tout en fourrure de lapin, s'est cependant montrée réceptive aux arguments écologiques (seulement). Enfin (et là ce n'est pas le meilleur pour la fin mais plutôt le pire) : un couple de style plutôt bourgeois, dont la femme portait un col noir, s'est montré particulièrement négatif :  Elle, avec un grand sourire (l'habituelle schizophrénie de certains, certaines) : "Ah oui mais MOI je sais très bien car cela vient de ma tante, elle est fourreur" lorsqu'il lui a été demandé si cela ne la dérangeait pas de porter la peau d'un animal massacré dans de grandes souffrances, dépecé pleinement ou encore conscient. L'homme tenta de se défendre : "Et vous portez bien des petites culottes fabriquées par des enfants Chinois ?" "Et bien non Monsieur, nous faisons attention à ce que nous achetons, surtout ce qui vient de la Chine, et nous sommes véganes", nous avons ajouté que chacun peut apporter cette même attention à sa consommation, vexés de notre répondant, ils ont tourné les talons, et lui en insistant ironiquement : "Ne vous en faites pas hein..." "Si, nous nous inquiètons pour ceux qui souffrent !", sans nous retourner. Ensuite, dans un fast food vegan, une dame qui portait une capuche en renard bleu (de couleur blanche, fourrure de Chine) a pris notre tract, gênée mais réceptive, surtout quand nous lui avons expliquée que se trouvant dans un restaurant éthique, elle était encore plus concernée par le fait de ne pas porter de vraie fourrure.
Vous voulez vous joindre à nous afin de sensibiliser le public, ce qui est primordial afin de parvenir à terme à l'abolition de la fourrure ? Contactez nous !

"Le monde n'avance que grâce à ceux qui s'y opposent" Goethe.

Fourrure : ABOLITION !!





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