Plusieurs personnes sensibilisées, et peu de refus, entre autres :
Un petit garçon avec un joli accent d’Europe de l’est, qui
portait de la fourrure animale, regardait notre sac « Je ne porte pas de
fourrure » et essayait d’y identifier les animaux et de les nommer en
français, aidé de sa maman. Nous leur avons souris et aidé à nommer ces
animaux, utilisés pour la fourrure, en leur expliquant que ces animaux étaient
exploités et souffraient pour cette industrie. Cette rencontre nous a
d’ailleurs confortés dans l’envie de créer un tract dédié aux enfants.
Nous avons informés trois dames dans le métro dont une
portait de la fourrure animale sans le savoir. Au début, l’une d’elles riait,
mais parce qu’elle pensait que son amie portait de la fausse fourrure, mais
lorsque nous leur avons expliqué l’existence des étiquettes mensongères/litigieuses et
démontré qu’il s’agissait sûrement de chien viverrin, elles ont compris la
gravité de la situation.
Une jeune-femme a été abordée en sortant d’un
magasin bio et
nous a dis ne pas savoir qu’elle portait de la vraie fourrure. C’était
une garniture de la marque Kookaï d’il y a déjà quelques années, avant
que cette marque ne cesse ce
commerce sordide, grâce aux actions des militants anti-fourrure menées
par le
collectif Société Anti Fourrure. Elle s’est engagée à la retirer car
elle s’est
dite contre cette industrie et sensible également aux arguments
concernant la
santé.
Un monsieur, préférant ne pas prendre de tract, nous a
écouté lui expliquer combien sa fourrure animale avait causé de souffrance
animale et combien elle avait pollué et risquait de mettre en danger sa santé
et nous a remercié.
Nous
avons fait une superbe rencontre avec une jeune végane qui était avec
une amie qui portait de la fourrure. Nous avons longuement discuté avec
elles et son amie a été convaincue de ne plus en porter. Nous avons
également discuté longuement de véganisme. Une rencontre très
enrichissante. Cette jeune femme a promis d'aller sur notre Campagne
France Sans Fourrure pour agir.
Une jeune fille avec un module pour chat (du sien )avec une capuche sans
aucune mention, et qui ignorait le trafic de fourrure de Chine, s'est
montrée très réceptive. Justement, cette garniture ressemblait fort à du
poil de chat tigré.
A tous et toutes il a été expliqué :
Les innommables conditions de vie et de mort des animaux pour l'industrie de la fourrure.
Les immenses gaspillages d'énergie sur le plan écologique pour le traitement des fourrures animales.
La dangerosité des bordures de capuche en
fourrure, pour ceux qui les travaillent, mais aussi pour ceux qui les
portent (voir article http://societe-anti-fourrure.blogspot.fr/2016/02/la-fourrure-est-aussi-dangereuse-pour.html
).
Charles Darwin :
« Ceux qui réfléchissent à ce sujet pour la première fois se demanderont comment une telle cruauté envers les animaux a été permise pour se poursuivre à notre époque de civilisation. »
Fourrure : ABOLITION !!
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