De bonnes réactions, entre autre une dame et sa fille dans un
supermarché, victime d'un étiquetage inexistant de la capuche.
Elles avaient justement pris des photos des garnitures en vraie
fourrure que vendait la marque Kisly à Sens il y a deux ans.Suite
à notre mobilisation, et donc à celle du public, cette boutique ne
propose plus aujourd'hui que des garnitures en synthétique. Un
jeune homme chez le vétérinaire (avec capuche), et son chien, a
bien réagit et pris le tract, mais nous n'avons pu dialoguer en
raison de son rendez vous imminent avec la vétérinaire.Des jeunes
gens également ont été réceptifs.Lorsqu'il est dit à toutes ces
personnes que les animaux sont dépecés vivants la plupart du
temps, en général, elles montrent un intérêt.Les marques pour la
plupart aujourd'hui ne pratiquent plus ces étiquetages litigieux,
grâce à la conférence à Bruxelles en 2017 dénonçant l'absence
d'indication, ou encore indication mensongère :
Mais il reste important de faire savoir aux gens ayant acheté
leur vêtement il y a plusieurs années, qu'il s'agit bien de vraie
fourrure, ce qu'avaient nié les vendeurs, eux mêmes mal informés.
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