samedi 7 décembre 2019

Compte rendu tractage anti fourrure novembre/décembre Vallespir (66)




La sensibilisation du public portant de la fourrure, c'est reparti ! Car bien que les températures soient plus clémentes dans le sud de la France, dès qu'il fait plus froid, les garnitures en vraie fourrure (mais heureusement les fausses aussi)font leur retour. Et si nous avons bien avancé avec les marques au cours de ces dernières années, qui se tournent à présent vers la fourrure synthétique, il est important de continuer à aborder le public.Même si souvent, il s'agit d'anciens modèles achetés il y a plusieurs années, lorsque ces étiquetages mensongers pullulaient, tout le monde ne sait pas forcément que les animaux morts pour ces garnitures ont été dépecés encore ou pleinement conscients.
Quelques réactions :
un groupe de femme dans la rue, avec bonnet et pompon  qui discutaient ont accepté le tract.Ces bonnets sont généralement vendus sans précision lorsqu'il s'agit de vraie fourrure (renard et lapin);
Unejeune femme élégante avec capuche en fourrure noire, a pris gentiment le tract, l'air gêné. Il lui a en effet été dit que l'on ne sait pas toujours l'ignoble dépeçage des animaux.
Une dame dans un supermarché, avec capuche probablement en chien viverrin, ou en renard :
était persuadée que ce ne pouvait être de la fourrure animale, puisque la vendeuse des galeries Lafayette avait donné cette information.Rappelons que ces vendeurs/vendeuses répétaient ce que les dirigeants de marque leur avaient dit, afin de mieux écouler les ventes.
Une autre dame dans une médiathèque, avec capuche, dans une médiathèque, fut également surprise, puisque la mention "fourrure animale" était absente. elle a donc été informée qu'à 59 % en France, lorsque les capuches ne portent aucune mention, ou bien "raton laveur", il s'agit de renard ou de chien viverrin.Pour ceux qui nous rejoignent, voici le lien de la conférence à Bruxelles ayant dénoncé ces pratiques :
Une jeune femme dans un salon végan, avec capuche, après explication, a pris le tract.
Si vous souhaitez vous aussi  sensibiliser le public en fourrure animale (attention, à condition de bien savoir la reconnaître, certaines garnitures en synthétique étant aujourd'hui bien imitée) nous pouvons vous envoyer des tracts contre petite participation au frais de port :




Contact : collectif.societeantifourrure@gmail.com
Merci de votre engagement.
« Le peu, le très peu que l’on peut faire, il faut le faire quand même ».

Théodore Monod

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